Volonaut Airbike : la speeder-bike qu’on attendait vraiment ?

Qu’est-ce que cette drôle de bécane ?

La Volonaut Airbike, c’est un concept de moto volante à décollage vertical (VTOL) signé par l’ingénieur polonais Tomasz Patan (le même qui a bossé sur le Jetson One). L’idée ? Te filer ton propre “hoverbike” compact pour filer au-dessus des bouchons… façon Star Wars, mais avec un vrai carnet d’entretien – enfin, un jour, quand ça sortira pour de bon.

Design : du carbone, de la 3D et un clin d’œil à Star Wars

Je te plante la scène : châssis en fibre de carbone, pièces imprimées en 3D, position de pilotage calée comme sur une sportive, et zéro carénage superflu. Avec 30-40 kg sur la balance, l’engin est sept fois plus léger qu’une moto classique — pas étonnant que ça grimpe dans les airs. Niveau look, on croirait presque un speeder-bike échappé de la forêt d’Endor… sans les ewoks.

Comment ça vole, concrètement ?

Pas d’hélices qui te tondent les mollets : quatre micro-turbines cachées sous le cadre poussent vers le ciel puis vers l’avant, pendant qu’un calculateur bardé de gyroscopes tient tout ça bien droit. Tu penches, il corrige ; tu tires sur le manche (un vrai joystick), il monte. La stabilité façon drone, la posture façon moto : combo gagnant sur le papier.

Fiche technique express

Caractéristiques clésVolonaut Airbike
Poids≈ 30 – 40 kg (plume en carbone)
Propulsion4 micro-turbines intégrées
Vitesse de pointeJusqu’à 200 km/h annoncés
Décollage / atterrissage100 % vertical (pas besoin de piste)
StabilisationCalculateur de vol + gyroscopes
Autonomie ciblée*Environ 40 km

*Donnée constructeur, à confirmer en conditions réelles.

À quoi ça sert ? La promesse d’une mobilité perso aérienne

Le pitch de Volonaut est simple : désengorger les villes en prenant l’axe vertical. Tu décolles de ta cour, tu files à 200 km/h, tu te poses devant le bureau (si ton patron a un toit-terrasse). Bref, la liberté aérienne individuelle, sans piste et sans hélicoptère XXL. Sur le papier, ça fait rêver ; dans les faits, il faudra composer avec les futures règles de l’espace aérien urbain.

Les zones d’ombre (parce que tout n’est pas rose fluo)

  • Homologation : rien d’officiel pour l’instant.
  • Réglementation : la DGAC et consorts n’ont pas encore écrit la notice “moto volante”.
  • Prix & production : silence radio côté Volonaut ; inutile de spéculer.

En clair, l’engin existe en prototype, vole déjà lors de démos privées, mais on attend encore la version « je signe le chèque ».

Conclusion : on décolle ou on reste au sol ?

La Volonaut Airbike coche toutes les cases “futuriste & fun” : légère, nerveuse, inspirée de la SF et pensée pour la mobilité urbaine de demain. Reste à voir si elle saura traverser le champ d’astéroïdes réglementaire… et notre porte-monnaie. Perso, je garde le casque prêt — au cas où on commencerait enfin la journée en mode speeder-bike.

Alors, tu montes avec moi ou tu préfères garder les pneus au sol ?