On l’attendait depuis 11 ans. Oui, 11 ans ! La dernière fois qu’on a vu Donkey Kong dans un vrai jeu, c’était en 2014 avec Tropical Freeze sur Wii U. Autant dire que tout le monde avait oublié notre gorille préféré.
Mais là, Nintendo frappe fort. Le 17 juillet, Donkey Kong Bananza débarque sur Switch 2. Et franchement, c’est une autre paire de manches. 💪
Un gorille qui casse tout
Je vais être direct : dans ce jeu, tu peux détruire absolument tout. Et je dis bien TOUT. Un rocher te gêne ? Tu le pulvérises. Une colline bloque ta vue ? Tu l’aplatis. C’est du défouloir pur et simple.
On s’aperçoit que Nintendo a compris un truc. Parfois, on a juste envie de tout casser. Et avec Donkey Kong, c’est possible. Le gorille est plus bodybuildé que jamais, il grimpe partout, il creuse, il arrache des morceaux de sol pour frapper ses ennemis avec.
C’est jouissif. 🔥
L’histoire ? Simple mais efficace
Donkey Kong bosse dans une mine sur l’île Lingot. Il cherche des bananes dorées (évidemment). Un éboulement le piège dans les profondeurs avec Pauline, la chanteuse qu’on connaît bien.
Pour remonter à la surface, ils doivent atteindre le cœur de la planète. Oui, c’est enfantin. Oui, c’est perché. Mais tout le monde s’en fout. Ce qui compte, c’est le gameplay. 🎮
Des transformations complètement barrées
Grâce aux chants de Pauline, Donkey Kong se transforme en animaux. En zèbre qui court sur l’eau. En autruche qui plane. C’est n’importe quoi scientifiquement parlant, mais c’est fun.
Ces transformations renouvellent le gameplay. Tu explores différemment, tu abordes les niveaux sous un autre angle. C’est malin. 🦓

Du 3D après 25 ans
Premier jeu 3D entièrement dédié au gorille depuis Donkey Kong 64 en 1999. C’est dire si on l’attendait. Les développeurs, ce sont les mêmes que Super Mario Odyssey. Ça, c’est rassurant.
Chaque niveau a sa propre identité visuelle. Toundra, canyon, lagon… Les environnements invitent à l’exploration. Et avec la destructibilité totale, chaque coin de map cache des secrets. 🗺️
Le prix qui pique 💰
Nintendo ne fait pas de cadeau. 69,99€ sur le Nintendo eShop pour la version numérique. C’est le prix officiel qu’on trouve sur le site Nintendo.
Tu as le choix entre :
- Code de téléchargement : 69,99€
- Version physique : 79,99€ (10€ de plus)
Pour un jeu exclusif Switch 2, c’est dans la moyenne haute. Mais franchement, après 11 ans d’attente, on s’y attendait. Nintendo sait que les fans vont craquer.
Le bon et le moins bon
Le bon :
- La liberté destructrice est addictive
- Les transformations apportent de la variété
- Les développeurs de Mario Odyssey aux commandes
- Du coop local avec GameShare
Le moins bon :
- Un arbre de compétences qui sent le copié-collé
- Pas de mode en ligne
- Prix élevé (79,99€ en physique) 💸
Mon verdict
Donkey Kong Bananza, c’est le retour qu’on espérait. Nintendo dépoussière une licence vieille de 45 ans avec brio. La destruction au cœur du gameplay, c’est du génie.
Oui, c’est une exclusivité Switch 2. Oui, c’est cher. Mais après 11 ans d’absence, notre gorille mérite qu’on lui fasse confiance.
Le 17 juillet, préparez-vous à tout casser. Littéralement. 💥

Justine M.
Journaliste française passionnée par la technologie, avec une affection toute particulière pour l’innovation asiatique.
Après dix ans passés au Japon, elle officie aujourd’hui depuis Paris, où elle intervient régulièrement lors de conférences tech et publie ses analyses sur les transformations numériques de notre époque. Son style, à la fois accessible et pointu, séduit un large public désireux de comprendre les véritables enjeux qui se cachent derrière les écrans.
Observatrice rigoureuse, Justine mêle dans ses articles une clarté journalistique à des influences culturelles nées de son immersion nippone. Son objectif : rendre la technologie plus humaine, plus lisible — et plus responsable.